mercredi 25 mars 2020

Nantes, Squatter en temps de confinement


La mémé est en Ehpad, sa maison est squattée par des Roms qui ont tout compris.

Pendant ce temps, on reçoit :

"Celle-ci étant squattée, si une personne à l'intérieur, se blessait (on peut imaginer un écroulement du plafond ou du sol)  la famille de la personne pourrait se retourner contre vous, les différents propriétaires, pour demander réparation.
De plus, une maison non entretenue est source de danger de par son délabrement, la mairie pourrait également se retourner contre vous, les différents propriétaires en cas d'incident."


Bé oui. Il va falloir entretenir la maison. Mais on ne peut plus y entrer. Et on ne viole pas le logement de quelqu'un !. Encore faudra-il reloger les occupants en attendant ! Et si le coronavirus entre dans l'Ehpad, la mémé bé, peu importe si ses ressources sont arrivées à zéro !

Bienveillance !


Et on lit dans Ouest-France daté du 23 mars, pendant le confinement :

" La famille voulait récupérer sa maison nouvellement achetée… et squattée. Alors que le couple s’était rendu sur place pour relever les compteurs, dimanche 22 mars, vers 13 h 40, square de l’Édit-de-Nantes dans le centre-ville de Nantes, il n’a pas pu rentrer à l’intérieur. La porte d’entrée ne s’ouvrant plus avec leurs clés.
Dans le même temps, des voix s’échappaient de l’intérieur de la maison. Quand la porte s’est ouverte, le couple a constaté la présence de trois personnes. Elles avaient mis le chauffage et faisaient à manger.

Des objets volés découverts

La police, appelée sur les lieux, a placé en garde à vue les trois hommes de 17, 26 et 27 ans. De nombreux objets dont six téléphones provenant de vols ont été découverts. Le propriétaire de la maison a porté plainte.
Au terme de la garde à vue, les trois hommes ont fait l’objet d’un rappel à la loi. "

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