"Quand je suis devenu assureur (Président de l’UAP), que j’ai découvert les différences entre capitalisation et répartition, je me suis rendu compte que, en tant qu’ancien fonctionnaire, ma femme étant en outre enseignante, j’avais droit à la PREFON. Nous avons capitalisé un million et demi de francs, fiscalement déductibles, alors que nous étions imposés à l’époque à 60% !".
Jean Peyrelevade, La république silencieuse, Plon, 2002, p. 238.